Cris. Larme. Souffrance. Sursaut.
Bartelemy ouvra les yeux. Il se passa la main sur le visage et souffla. Un cauchemars. Encore le même.
Il se mit en position assise sur son lit, puis regarda sa table de chevet sur sa droite. Son bipeur sonnait. Donc quelqu'un allait devoir mourir. Ils appellent de plus en plus tôt. Il doit être quoi? 9h? Ah 14h? Tiens, le temps passe vite.
Il se massa la nuque puis se leva complètement. En s'étirant il se dirigea vers son sac de sable et commença à taper dessus, machinalement. Satisfait, il enchaîna avec son entrainement matinal. À peine passable. En même temps il ne fallait pas s'attendre à grand chose en se levant à cette heure là...
Il alluma une cigarette et alla à la fenêtre.
Sun city. Une ville dont l'apparence reflète l'état d'esprit: en pleine décadence. La guerre entre le culte et les rebelles la détruis petit à petit, quartier par quartier, bâtiment par bâtiment. Corrompu jusqu'à la moelle. Gangrené depuis son cœur jusque dans ses périphéries. Plus personne ne s'étonne de voir quelqu'un agressé dans la rue. Les travailleurs enjambent des corps pour aller au boulot, sans même que qui que ce soit ne s'en choque. Les cadavres pourrissent dans les caniveaux à côté des orphelins les dépouillant, et des mendiant se battant pour un quignon de pain. Cette ville est parfaite pour un assassin recherchant du travail. Tant qu'il y a des conflits, il y a des gens à abattre, et plus une guerre est longue, plus elle rapporte. Le meurtre est tout un art, mais pour le plus grand nombre il est difficile d'accès. Il ne s'agit pas forcément de la manière de tuer. La recherche à effectuer autour de la victime compte aussi. La manière de l'approcher. Les défis à relever pour l'atteindre. Le nombre de personne à abattre ou à éviter. La mise en scène. Effacer les preuves. Il n'y a pas deux meurtres identiques pour une bonne raison. Tout dépend du caractère, de la manière d'être, des fantasmes, de la prudence du tueur. C'est l'accomplissement qui provoque ce petit frisson ultime, cette excitation qui prouve que l'on est encore en vie. Frisson que l'on va rechercher encore et encore, comme une drogue. Et certains sont plutôt bon à ce petit jeu. Le tueur aux origamis par exemple. Un véritable artiste. Ce pourrait être intéressant de le rencontrer...

Le bipeur se remit à sonner. Ce bruit strident agaça les oreilles de Bartelemy qui se dépêcha de l'éteindre. Il se servi un verre de wisky et commença à le boire doucement. Les nouveaux clients qui arrivent sur le marché sont souvent assez impatient. Ils veulent le résultat tout de suite, et ne sont jamais impressionnés par quoi que ce soit. Ils sont arrogant aussi. Mais ils se calme assez rapidement en comprenant que poser bêtement ses couilles sur la table ne pourrait que les conduire à une mort certaine. Du moins s'ils ne sont pas stupide. Le précédent était un véritable imbécile par exemple. Essayer de faire pression sur un assassin en utilisant quelques gardes du corps... Bartelemy rigola doucement. Baraqué ou non, une balle entre les deux yeux a souvent le même résultat pour tout le monde.
Il termina son verre et commença à s'habiller. Rencontrer son client lui-même serait une idiotie, l'anonymat étant beaucoup plus sécurisé, mais il ne pouvait pas se permettre d'appeler de chez lui. On ne sait jamais, quelques micros et la vie peut devenir très compliquée... Habituellement il allait dans un parc, mais en prenant soin de ne jamais choisir le même ou de ne jamais retourner au même endroit.
Il sorti de son immeuble. Et l'Observation commença.
Que ce soit dans le cadre d'une mission, pour se promener ou aller faire ses courses, Bartelemy ne relâchait jamais son attention. Trop de personne voulait le tuer, comme tout ceux de sa profession. Aucun détail ne lui échappait. Il devait être capable de voir les  personnes derrières et devant lui, si leurs vêtements pouvaient être en mesure de cacher quelque chose de dangereux, de voir s'ils le suivaient trop longtemps, si leurs gestes étaient suspect, s'ils sont accompagnés, regarder en hauteur s'il ne pourrait pas y avoir un tireur embusqué,... Tout ça sans faire de mouvements ostentatoires risquant d'attirer l'attention. Il avait déjà essayer de se déplacer dans une foule, mais ce petit jeu avait fini par lui donner une migraine intenable à chaque fois. Certains appelaient ça de la paranoïa, lui appelait ça de la prudence. Après tout, s'il était encore en vie c'était pour une bonne raison non?

Bartelemy arriva à hauteur d'un square à côté d'une petite forêt. Quelques gamins jouaient sous le regard attentif de leurs parents. Il scruta la forêt mais ne discerna pas de mouvement. Il sorti son portable et appela le numéro qui s'était affiché plus tôt sur son bipeur. Le téléphone n'était pas traçable et les enfants du square devrait couvrir suffisamment sa conversation pour qu'aucune oreille humaine ne puisse l'entendre. À moins d'un comportement imprévu, personne ne devrait se situer dans un zone gênante pour ses affaires.

Bartelemy avait commencé la discussion quand un bruit attira son attention. Il fit volte-face et se retrouva face à... un loup. Un loup? Il était rare d'en voir dans Sun City. Il était rare d'en voir un tout court d'ailleur. À part les chiens errant il n'y avait plus beaucoup d'animaux dans cette ville.
Il ne s'inquiéta pas trop de ne pas l'avoir entendu arriver. Il se basait beaucoup plus sur sa vue et son intuition que sur son ouïe. Elle peut facilement être trompée. Bien trop de bruits se ressemblent et puis un son violent dans les oreilles peut les mettre hors d'état de nuire. Face à une grenade aveuglante on peut toujours fermer les yeux, mais face au bruit d'une explosion...
Le loup n'avait pas l'air dangereux mais Bartelemy préfera le garder à l'oeil, histoire d'éviter les mauvaises surprises.
La voix à l'autre bout du téléphone le rappela à l'ordre.


- "Vous êtes toujours là ou depuis tout à l'heure je parle dans le vide?"
- "Vous parliez dans le vide. Un imprévu. Revenons-en au début. Le "pourquoi" m'importe peu, seul le "comment" compte. Dites-moi tout ce que vous savez sur lui. Ses lieux habituel, sa garde rapprochée, ses proches, tout ce qui pourrait m’amener à lui."
- "Ça c'est à vous de vous en occuper, fit la voix agressive. Si j'avais voulu des informations sur lui j'aurais engagé un détective privé, pas un assassin!"


La cible de cette fois-ci était un homme d'affaire apparemment. Un important. Il devait lorgner sur le contrat d'un autre, mais ça importait peu. Seul le résultat comptait. Un homme important hein? Donc de gros moyen. Et beaucoup de résistance.
Un frisson lui parcouru l'échine. C'était ce sentiment là qu'il aimait. C'était ainsi qu'il se sentait en vie...

Bartelemy raccrocha et commença à rentrer chez lui. Il faudrait faire des recherches sur cet homme et son cadre de vie. Sur ses habitudes. Il faudrait qu'il le connaisse mieux qu'il ne se connait lui-même...
Il ne serait pas prêt avant une semaine, mais déjà il commença à imaginer la lutte. La traque ne l'intéressait pas, mais la lutte... Ce moment de tension ou sa propre vie est mise en jeu et ou rien n'est certain..
Il n'y aurait pas d'élément perturbateur extérieur. Ce n'était pas possible. Après tout il n'y avait que lui qui était au courant. Et un loup. Mais que pourrait donc faire un loup?

Edit Shamosis : Je te conseille de mettre en valeur tes paroles, ne serait ce que par des sauts de lignes pour séparer les descriptions et les dialogues, ainsi que des couleurs / mise en gras. Par ailleurs, pour les couleurs, nous te conseillons de choisir celle de ton groupe donc violet en l’occurrence ! Ce n'est qu'un conseil qui n'est pas une obligation :)Simplement une manière d'améliorer ta mise en forme pour permettre aux autres joueurs et à toi-même d'en profiter pleinement ! :DBon rp à vous deux !

Quelle drôle de chose. Un homme s'apprêtait à tuer, et il était le seul au courant. Que devait il faire? Et si la future victime était un des rebelles? Malheur. Il s'en voudrait tellement de ne pas encore avoir pu les protéger. Mais s'il allait tuer un homme du gouvernement, il se ferait engueuler de l'avoir arrêté avant, et le client était peut être leur chef, même s'il n'en avait pas reconnu la voix. Non, le mieux à faire était sans doute de le suivre, il verrait bien de qui il s'agit. Il le laissa s'éloigner tandis qu'il lui laissait une distance d'avance, pour le filer, avant de se souvenir qu'un assassin ne se laissait pas suivre facilement. Il voulu rattraper les distances mais il avait suffis d'un tournant pour qu'il le perde de vue. Vite son odeur, quelle était-elle déjà? Il renifla les airs, puis le sol, se rendant compte qu'il avait fait une bourde. Mince!

C'est sur, il allait se faire engueuler. quel idiot de lui avoir laissé tant d'avance! Il tourna sur lui même, énervé, et renversa une poubelle en sautant dessus, grognant comme un enragé. C'est alors qu'en se retournant, il le vit. Mais...? Par où était il passé? Et puis, maintenant qu'il s'était montré une deuxième fois à lui, ce serait assez dur de lui faire croire à une coïncidence... Pas le choix, il devait avant tout se protéger. Il commença à lui grogner dessus, la queue baissée et les oreilles en arrière, les pattes avant légèrement fléchies, prêt à bondir.

Il ne fallait pas qu'il lui échappe cette fois.

HRP:

Bartelemy avait mis plus longtemps que d'habitude pour réaliser que quelqu'un le suivait. Enfin quelqu'un... Se méfier des êtres humains en général c'est une chose auquel il avait fini par s'habituer, mais s'il devait aussi se méfier des animaux s'en était une autre! Surtout un loup! Qu'est-ce que foutait ce loup en plein milieux d'une ville? A croire qu'il suivait quelqu'un.
Un loup qui suivait quelqu'un... Bartelemy rigola de lui-même. Par habitude il commença à faire en sorte de le semer. Il tourna à droite dans une rue, puis rentra dans le premier bâtiment qu'il vit. Un immeuble. La femme de ménage surprise le regarda rentrer avec des yeux écarquillées.


- "Ne vous en faite pas, je ne fait que passer" fit-il.


Ce faisant, il resta quelques secondes supplémentaires à côté des produits d'entretien. Rien de tel pour gêner l'odorat d'un loup. Il rigola à nouveau. Il devait se faire vieux pour commencer à croire que même les animaux lui en voulait! La vieille femme prit son rire pour quelque chose d'inquiétant et pris le prétexte de la serpillière pour s'éloigner de lui en la passant. Ayant obtenu ce qu'il voulait, Bartelemy sortit de l'immeuble par la porte de derrière donnant directement sur une ruelle. Il continua à marcher.

Juste avant de sortir de la ruelle il vit dans une flaque d'eau un ombre sauter sur une poubelle. Il fit volte-face et tomba nez à nez avec... le loup??? Qu'est-ce que c'était que cette connerie? D’ou un loup pouvait-il être suffisamment intelligent pour pister une homme en plein milieux d'une ville? Et puis pourquoi le chercher lui alors qu'il n'avait rien sur lui à part une arme? Et surtout, comment avait-il fait pour que personne n'hurle en le voyant dans la ville?? A croire qu'il pouvait passer inaperçu parmi les humains!
Le loup commença à grogner et à se montrer menaçant. Pas le temps de chercher le pourquoi du comment. Utiliser son arme à feu en pleine ville pourrait lui causer du tord, donc il lui faudrait éviter. Quoi que Suncity n'est pas vraiment Bellavilla... Seulement en cas de secours alors. Il regarda brièvement la ruelle et prit la première arme qui lui passa sous la main: le couvercle en métal d'une poubelle. Ça peut aussi bien protéger qu’assommer. L'arme idéale.Quand le loup passa à l'attaque, il était prêt. Il fit un pas de côté et lui assénât un coup sur la tête.


- "C'est bon tu as eu ton compte?" lui demanda-t-il, ironiquement.


Son sourire le quitta immédiatement quand il vit le loup se relever. Il prit le couvercle à deux mains et le frappa à la tête de toute ses forces. Mais l'animal, d'une constitution incroyable, se releva encore. Tout son corps tremblait sous l'effort. Bartelemy n'eu aucune pitié et le refrappa une troisième fois. Cette fois-ci il ne se releva pas. Il lui mit de petits coup avec son pieds mais il n'eu pas plus de réaction.
Vivant ou mort peut lui importait, du moment que ce sac à puce ne lui mettait plus de bâton dans les roues. Par deux fois il avait réussi à le surprendre, mais il n'allait pas tolérer ça plus longtemps. Après s'être assuré que personne ne le regardait, il prit son arme et mis l'animal en joue. Un frisson lui parcourut l'échine.
En même temps il devait admettre que cette bête avait réussi à attiser sa curiosité. Il ne savait toujours pas pourquoi elle l'avait attaqué, ni comment elle avait réussi à se déplacer dans la ville s'en que personne ne la repaire. Entre un loup et un chien il y a quand même une différence de taille! Et pourquoi l'avait-elle suivit lui?
Il rangeât son arme. Il venait d'avoir de nouveaux plans pour le Sac à puce... S'ils le laissait comme ça dans la ruelle alors qu'il était inconscient il pourrait lui arriver n'importe quoi. Il le portât (et bon sang il pesait son poids!) et le mis dans une poubelle dont il referma le couvercle. Ensuite il alla en haut de l'immeuble d'à côté et se positionna pour pouvoir l'observer. Il se demanda quelle serait la réaction première de l'animal. Et l'Attente commença.

Le couvercle tressauta, ce qui fit sourire Barthelemy. Il était resté inconscient à peine 10 minutes. Cet animal faisait vraiment preuve d'une constitution physique impressionnante. Il allait enfin voir la réaction de ce loup pas comme les autres.
Le couvercle se souleva et c'est avec toute son attention de fixé sur la poubelle qu'il vit en sortir... Un homme? Comment ça un homme? Il n'y avait rien d'autre que des détritus dans cette poubelle, et un animal, alors pourquoi est-ce que c'est un homme, complètement nu, qui en était sorti? Avait-il mal vu? 2 erreurs dans la même journée cela faisait vraiment beaucoup trop pour lui. La moindre erreur pouvait lui coûter la vie, alors 2... Et puis le sang de Barthelemy se figeât. Devant ses yeux ébahis, abasourdis, incompréhensif, l'homme qui était sorti de la poubelle se métamorphosa en loup.

Un grand loup gris. Il tituba légèrement mais se repris. Il ne bougeât plus puis frappa dans la poubelle. Il se remis à marcher vers la sortie. À la fin du couloir il prit à gauche. Il venait de partir.

Partir. Partir? PARTIR? Barthelemy s'éveilla d'un coup. Si le... Si cette chose venait à partir il ne serait en sécurité nul part! Il ne savait pas si les animaux étaient tous comme ça, pourquoi ils en avaient après lui, quelles étaient leurs intentions, leurs forces militaire et surtout combien ils étaient. Combien d'ennemis il risquait d'avoir. COMBIEN??
Il se précipita vers l'escalier et sorti de l'immeuble à la hâte. Il devait à tout pris suivre la Chose pour avoir des réponses, quitte à la torturer pour ça. Il courut dans la direction ou elle était partie et regarda sur la droite et sur la gauche. Il ne la vit pas, alors il continua ses recherches en courant autour du pâté de maison à un rythme infernal. Il ne s'arrêta que lorsque son corps refusa de lui obéir et qu'il s'effondra, à bout de souffle.
Il n'était pas un pisteur et il ne la voyait plus. Il fallait se rendre à l'évidence, il l'avait perdu. Il hurla de rage.
Il n'était pas en sécurité dans la rue. En marchant et rampant à moitié, il se dirigeât vers l'immeuble le plus proche.

Barthelemy se força à respirer profondément pour se calmer, et pour s'aider à réfléchir. Il fallait déjà rassembler ce qu'il savait. Déjà cette Chose était métamorphe. Il se força à ne pas réfléchir aux conséquences de ce que cela impliquait. Ensuite il se mouvais librement dans la ville. Un animal ou un homme qui ne connaissent pas les villes sont perturbés et n'osent pas forcément rentrer dedans, ou sont complètement perdu. Ça non, ça n'avait pas hésité une seule seconde. Ensuite, sous sa forme humanoïde, ça se déplaçait sur 2 pattes. Comme un homme. Hors un être humain qui évoluent parmi les animaux marchent à 4 pattes. Donc il a côtoyé des êtres humains. Si l'ont réuni ces deux faits, il est possible que ça ait côtoyé des hommes dans la ville de Sun City. Donc quelqu'un de normal le connaissait, si tant est que quelqu'un puisse être normal à Sun City. Bien, il se rapprochait.
Mais comment retrouver des gens qui connaissent ça? Il ne pouvait pas arriver tranquillement devant quelqu'un et lui demander s'il connaissait... ce genre d'êtres. Et pour torturer quelqu'un il faut déjà avoir une piste de départ.
Il m'a rencontré dans la forêt. Donc il n'aime pas forcément la civilisation, même s'il la côtoie. Bancale comme théorie, il aurait simplement pu y passer par hasard. Par hasard? Ce genre de monstre aurait croisé l'un des plus grands assassins de cette époque par hasard et l'aurait attaqué directement, sans préambule? Un peu gros comme coïncidence...
La conversation! L’ouïe des loups est beaucoup plus grandes que celle des humains, il est possible qu'il ait entendu sa conversation dans le parc. Est-ce qu'il protège la cible? Il a l'air taillé pour le combat et à une plutôt grande force. Il protège la cible alors. Mais comment aurait-il déjà trouvé Barthelemy? Facile, sur ce type de contrat on envoie pas un amateur. Non on prend plutôt l'un des meilleurs. Il devait donc déjà me pister et à décidé de me tuer quand il a vu qui était sur le contrat. Mais il est venu seul. S'ils avaient ça à plusieurs ils auraient réussi à coup sur. Ou alors ils ne sont pas nombreux? Non il n'a pas l'air de savoir vraiment travailler en groupe. Il doit être seul. Du moins pour l'instant. La meilleure chance de le retrouver serait alors d'utiliser le client comme appât.
Non trop long. À chaque instant qui passe il peut recruter d'autres personnes ou aller chercher des compagnons. Il faut frapper maintenant. Vite et fort.
Si certains le connaissent, il suffira de les trouver et de les faire parler. Même si personne ne parlera pour un loup, le physique de l'humanoïde était plutôt reconnaissable. Il faudrait plutôt creuser par là alors.

Enfin calme Barthelemy savait désormais ce qui lui restait à faire. Lui-même n'était pas un pisteur, mais il avaient entendu parlé d'une personne plutôt bonne dans le domaine, un certain "Mille yeux". Et si jamais ça échouait, il pourrait toujours utiliser la cible pour l'appâter et le tuer. Mais avant il lui faudrait avoir des info sur cet ennemis. Et pour ça il lui faudrait passer par un endroit dans lequel il n'était plus allé depuis bien longtemps. Agatha Gordon, experte en phénomènes paranormaux, avait pour habitude de toujours rassembler des informations sur ses sujets. Même si elle était morte aujourd'hui, il est possible qu'elle ait quelque chose là-dessus. Certes, ce n'était pas une certitude, mais il fallait bien commencer quelque part. Et puis après tout, cela faisait longtemps que Barthelemy n'avait pas vu sa maison d'enfance. Pas depuis la mort de Bastien Gordon en fait.

Un sourire carnassier passa sur les lèvres de l'assassin...



[HRP]
Je pense qu'on peut fermer ce topic, puisque du coup je vais embrayer sur celui de Willow qui est dans l'ancienne Sun City (là ou est la maison d'enfance de Barthelemy), et après très probablement avec Kyle. Qu'est-ce que tu en penses?

Edit Shäl - Attention Barthelemy ! Tu mélange souvent des pensées à la première personne dans tes descrpitions. Si tu veux faire réfléchir ton personnage à la première personne, je te conseille d'utiliser des ** pour les entourer et les séparer de tes descriptions !