Personne. Quel bonheur. Allez prier pour vos dieux. Moi je peux me déplacer librement.

- Tien ? Un salon de thé ouvert ? En ce jour ? Il y a une éternité que je n'ai pas bue de thé.

Ma pipe au bec je rentrai dans cet endroit fort sympathique. L'harmonie du rose et du bleu y était parfaite, pas trop mon style, mais jolie Il y fessait bon, une odeur très agréable de thé m’emplis les narines. Le mobilier était simple. Quelques tables aux napperons rose et bleu roi dans la partie droite de l’établissement, ou des gens était attablé. Un comptoir joliment fait et aux couleurs sympathique dans le même ton que les tables sur la gauche. Et un piano en son centre, un magnifique piano à queue noir brillant, soit neuf soit très bien entretenue. Je n'ai jamais aimé les piano mais celui-ci en jetais. Et une très jolie blonde y jouait un air doux et reposant. Bref un très bon endroit pour se reposer. J’allai m’asseoir à une table relativement proche du piano mais suffisamment éloigné de la porte en cas de problème. La jolie blonde me suivis des yeux et vins me voir une fois assis.

Ce que je voulais boire ?

- Je vais vous prendre une tasse de thé, avec un nuage de lait et un peu de sucre s'il vous plait mademoiselle. Et si c'est possible je prendrais une bière ensuite si vous avez.

Je senti la chaleur de ma pipe dans la main.

- Et un cendrier si possible. Merci.

Pour une si belle femme un jolie sourire ne tuais pas. Je lui fis donc mon plus beau.

Un jolie bout de femme cette demoiselle. Toute mignonne du haut de son mètre soixante environ, avec ses petites formes proportionné pour sa taille. De plus elle a une jolie voix, des cheveux blond fort longs et très soyeux. De très beaux yeux bleus, qui ressortent sur son visage blanc et qui vous invite à vous confier. Elle a une boucle d'oreille mais, chose étonnante pour une personne de son style, elle n'en porte qu’à une oreille. Le tout mit en valeur par la robes d'un rouge rubis qui la distingue des toutes les personnes aux couleurs ternes, moi compris.

Qu'elle ne fut pas ma surprise de la voir arrivé avec tout ce qu'il fallait pour préparer le thé. De les poser sur la table et de commencer à le préparer. Ainsi elle n'avait rien des serveuses vulgaire et offrant leur corps pour arrondir leurs fins de moi. Et elle me demanda si j’étais un étranger.

- Pour la ville je suis un habitué, je connais ses moindres recoins les plus sombres, les petites rues ou même un chat de gouttière ni étant pas obligé ne vas. Autant que ses quartiers le plus chics et le plus beaux. Mais pour les gens je ne suis que peux connu, on me connaît plutôt à Sun City. Ne vous effrayé pas. Je ne suis pas un malandrin. Je suis juste extrêmement curieux de tous. Avais vous entendu parler de Valdis Nirko ? Et bien c'est moi même.

Je lui fis un grand sourire. Autant la rassuré un peu, il est vrai que des fois je suis quelque peu directe et que cela peut porter à confusions.

- AHAHAHAHAHAHAH ! Moi une célébrité ? AHAHAHAHAHAH ! Non je ne suis qu'un homme qui essaye d'aider les gens de temps à autre quand je le peux, ce qui ma valus d'être connus. Enfin surtout à Sun City.

Son aire désolée était trop mignon. Jamais je n'avais rencontré de femme mélangeant aussi bien l'adorable et la beauté. Et cela était ravisant.

- Qui est votre cousin ? Ou plutôt ou travaille-t-il ? Je connais mieux les lieux que les gens. Ce qui est normal.

Elle me donnât mon thé avec un magnifique sourire. "Merci" dis-je avant de le porter à mes lèvres. Hmm il était délicieux. Le thé avait une très bonne amertume, le lait était légèrement crémeux et le sucre relevait tous les autres gouts.

- Il est délicieux. Votre mari à de la chance d'avoir une tel femme à ses coté.

Je sentais qu'elle n'était pas très rassuré, mais suffisamment pour rester avec moi. Elle m’apprit que son cousin était Nora Clindwood. Nora Clindwood ? Nora ? Nora ? C'est un des partisans des rebelles. Et haut placé je crois. Pas la peine de la cuisiné, elle ne sait vraiment rien. Je ne la crois pas suffisamment futé pour mentir.

Elle se retourne pour rapporter ses ustensiles. Elle a vraiment de très belles courbes. Ses hanches se balance de droite à gauche de manière sensuelle et ses cheveux ondule gentiment au rythme de son pas. Et elle revint toute légère.

Elle n'a pas de mari ? Ce n'est pas possible. Mes yeux s'écarquillaient.

-Vous n'avez pas de mari ? Une femme comme vous ? Vous êtes très jolie, avec une voix chantonnante, aimable au possible et qui fessait un thé délicieux.  Et vous n'avez pas de mari ? Mais même si vous ne cherchiez pas vous trouveriez quand même.

Cette femme était vraiment mignonne. Elle voulut boire la fin d'un verre mais il était déjà fini. Ce qui me fit beaucoup rire. Elle rougie encore plus. Encore un peu et elle aurait la même couleur que le manteau du père noël. Mais si elle n'avait pas de marie, elle ne tenait pas ce salon toute seul. Je me demande bien qui est avec elle.

- Donc c'est votre salon de thé ? Vous le tenez toute seul ? Je ne pense pas. Alors qui vous aide ? Désolé. Les vieux tics d’interrogatoire. Laissé moi reprendre. Vous êtes aidé par qui pour tenir ce salon ?

Et ben mon ami. On peut dire que des fois tu sais parler aux femmes. Bon, après c'est la premier serveuse avec qui ma discutions ne vas pas me mener dans le lit de cette dernier. Je préférerais plutôt discuter avec elle toute la nuit plutôt que de lui faire l’amour. Mon thé était vraiment délicieux. Mais une bière s’imposait. Et pourquoi ne pas lui payer un verre ?

- Mademoiselle, pourrais-je avoir une bière s'il vous plait ? Même si votre thé était délicieux, une bière est rafraîchissante et désaltère mieux. Et je vous offre un verre par la même occasion. Prenez ce qui vous fais envie je le payerais. Sauf si cela vous dérange bien sûr. Je ne veux pas vous forcer.

- Ce n'est pas le vôtre ? Et vous n'êtes même pas serveuse ? Et bien pour le coût c'est votre sœur qui doit être très contente de vous avoir à ses coté. Mais si vous n'êtes pas serveuse et que vous tenez le salon en ce moment, qu'elle métier faites-vous pour avoir autant de temps libre ?

Plus je lui parlais moins je voulais partir et plus je voulais en savoir sur cette femme qui devrais être un exemple pour certaine personnes qui prétendent suivre les dogmes de Shalmosis. Elle est la bonté pure et la gentillesse même. Et je suis presque persuadé qu'elle a aidé sa sœur depuis le début dans ce salon.

Elle prit ma commande après quelque seconde de réflexion, surement sur ma proposition. Puis elle revint avec une magnifique pinte dont la mousse dépassait et un verre assez grand pour contenir en demi. Bien sûr c'était les petits demi et pintes. Dans le nord la pinte c'est 1 litre et le demi 50 cl. Mais j'étais dans un salon de THÉ donc bien sûr on boit du thé pas de la bière. Bref. C’était une bière ambré. Plutôt alcoolisé. Je dirais une bière de garde qui a environs 6 mois de fermentation en fut. Plutôt bien faite.

- Merci beaucoup. Au faite je ne sais pas si votre sœur si connais en bière mais elle en a une très bonne .Bien sûr ne pensais pas que je cherche à vous saouler. Je veux juste être aimable. Vous êtes une personne très agréable et je veux juste discuter avec vous.

Une maîtresse ? Hmmm ... ! A non ! Pas de pensé perverse ! Elle est trop gentille pour ça. Elle est le pilier de notre future génération, alors pas touche. Et puis elle m’a demandé mon métier. Mon métier ? C'est vrai ça ! C'est quoi mon métier ? Je pense que la question a du laissé sur mon visage les signes de la réflexion. Techniquement je suis un meurtrier et un voleur. Maiiiiis je ne suis pas sûr que ce soit la chose à dire. Surtout si elle me vouvoyait. Et encore ! On ne dit pas ça même à une personne qui te tutoie. M’enfin bref, je n’ai pas la journée pour réfléchir. Qu'est-ce que je pourrais bien dire comme métier ? A oui ... et ce n’est pas vraiment un mensonge.

- heum ... Je suis une sorte de juge, je tranche entre ce qui est bien et mal. Et je punis en conséquence. Mais je ne suis pas un magistrat. C’est assez compliqué. Et vous êtes professeur ? Les petits monstres ne sont pas trop turbulents ?

Les enfants des quartiers nord de Sun City était plutôt gentil mais très turbulent quand on ne les cadrait pas. J’espère que ce jeune professeur n'a pas ce genre de môme. Mais vue qu'elle est plutôt décontractée je pense pas.

Un petit doute se vit sur son visage quand elle porta la bière à ses lèvres. Mais elle me dit que sa sœur la fessais venir de loin. Et que je pourrais lui demander d’où elle vient. Et comment que je vais le lui demander. Je compte bien en acheter pour moi. Mais je remarquai le "tu". Elle n'avait pas dû prendre son temps pour dire "vous" et donc c'était sorti tout seul.

Mais mes sens furent attirés par une table au milieu. Deux hommes commençaient à parler fort. Ils étaient habillés en tailleur noir. Celui de droite était basané avec une chemise bleu délavé Et celui de gauche était un blanc, les cheveux long attaché en catogans et il portait une chemise noire sans cravate. Vus les différentes pintes, ils ne devaient pas être bien frais.

-vous connaissez les deux types à la table-la-bas ? Je les lui montrai discrètement.

- J’ai du mal à vous imaginer avec le visage sévère de ma professeure de science. J’aimerais bien vous voir sévère, ce doit être très rigolo.

Il semblât que ma réponse sur mon travail l’a mis dans l’ambara. Pense-t-elle que je n’ai pas d’emploi fixe ? Et bien elle n’as pas tort. Mais mon « boulot » me convient. Certes c’était du vol et de la débroussage de mort mais bon, j’ai de l’argent. Et puis, je le fait pour ma déesse.
Cela lui fit reprendre le la bière, ainsi que des couleurs sur les joue. L’alcool commençait à agir. Pourtant elle n’avait bu que la moitié de son verre, alors que le mien était presque fini. Mais je suis plus habitué qu’elle à picoler.

- Ne vous inquiétez pas, je subviens largement à mes besoins.

Les deux ânes du fond commençaient à être vraiment bruyants. Elle ne les connaissait pas. Plutôt logique quand on n’est pas la souvent.  Mais là ils devenaient grossiers. Et ça c’est non. Les lieux calmes reste calme, et ça en vas de même partout. un lieu doit rester dans l’état qu'il est.

- Permettez ?

Je me lève et me dirige vers la table des gêneurs, décidé à les faire dégager.

- Excusé moi messieurs. Cet endroit calme n’est pas approprié à vos disputes. Je vais donc vous demander de sortir s’il vous plait.

- T’es qui pour nos dire de dégager ? Et qu’est-ce que tu vas faire sinon ? Demanda le plus sombre.

D’une voix basse pour que seul les deux protagonistes m’entendent et en leur montrant discrètement mon magnum.

- Je vais refaire la couleur de cet endroit avec le joli sang de votre cerveau, et puis je vous jetterais aux chiens et personne ne sauras ce que vous êtes devenu. Votre famille se retrouvera sans vous, tout seul, sans défense, à la merci des malfrats. Ce serait bête non ? Alors payée et partez, et ne revenez pas vous venger ou je vous jure que personne dans votre entourage ne survivra, et vous serez les dernier à mourir.

Je posai la main sur mon arme et leurs fit un très grand sourire.  Ils avaient compris que je ne plaisantais pas. Ils posèrent sur la table ce qu’ils devaient et partir en courant. Bon débarras. Je fis demi-tour, en recachant soigneusement mon revolver, et m’avança vers la serveuse. Au faite je ne connaissais pas son nom ! Je me rassis.

- Qu’elle est votre nom au faite ?

L'inconnu en face de lui lui répondit qu'il aurait du mal a la voir avec un faciès sévère de professeur, enfin il avait raison sur un point ce n'etait pas les sciences qu'elle enseignait en effet. Avec un petit grondement vexée, Mary West professeur digne et réservée lui fit une grimace, elle était tout a fais capable d'intimider des petits enfants quand même !

Tu vois ! Tu dois être terrifier la ! Nah.

Dire si elle était sérieuse a ce moment la serait bien complique, disons qu'elle n'était pas non plus dans son état normale non plus. Pour se revigorer de la terreur qu'elle venait d'infliger a son jeune élève, elle porta une troisième fois la boisson ambrée a sa bouche finissant presque cul sec se qu'il lui restait de la bière. La professeur, une légère rougeur aux joues, alors que celui ci se levait pour aller voir les deux clients qu'elle avait servit plus tôt dans la soirée. Se penchant légèrement suivant la discussion inaudible a ses oreilles, et alors que les deux malfrats prennaient leurs jambes a leurs cou, celle ci se leva pour récupérer la monnaie avant de se rendre compte qu'il y avait un fort surplus d'argent dedans.

Tiens prends.

Pour Mary, Valdis n'avait pas l'emploie le plus sur du monde, il avait été plutôt étrange sur celui ci, alors elle n'hésitât pas a lui rendre le pourboire qui était reste. Pour elle, même légèrement ivre, ce n'était que naturel d'aider ce qui était dans le besoin, il y avait souvent des petits gâteaux qui aurait du partir a la poubelle qui se retrouvait souvent dehors pour ceux qui en avaient le plus besoin. Avec une petit sourire, elle se présenta, âpres tout elle savait bien son nom mais lui nan...

Mary West, enchante !

Cette jeune femme était charmante. Sur la note des deux hommes il y avait un joli petit pourboire à peu près équivalent à la note elle-même. Rose comme un bonbon et me tendit le pourboire.

- Merci mais je vais décliner l’offre. Un pourboire c’est pour récompenser les serveuses gentille et jolie, et comme c’est ce que vous êtes c’est pour vous.

Je pris les billets, les plia, et les remit dans sa mais. Puis elle me dit son nom.

- Mary West. La grande et terrifiante professeure Mary West. Qui est accessoirement pompette. Ahahahahah ! Puis-je vous redemander une grande bière ? Et une fois de plus prenez ce que vous voulez Mary, je le payerais.

L’alcool commençait aussi à me faire de l’effet. Mais c’était agréable. J’espère juste que si la sœur de Mary rentre, elle ne se fasse pas de fausse idée à mon sujet.
Alors qu’elle revenait je lui demanda.

- Comment avez vous décidé de devenir une terrifiante professeure ?

Sa main tendue fut ignorer et soudainement elle se remplit une seconde fois des billets laissées par les deux compères, elle ne comprenait pas pourquoi celui ci refusait son offre... Peut être détestait il la générosité ? Ou alors considérait il son geste comme de la pitié ? Avant que la seconde partit de sa réponse lui a l'esprit, elle allait commençait une phrase qui fut interrompu en plein milieu.

Mais ne ... Je ... Non ...

Avant que ses joues se teintent une nouvelle fois d'un rose qui cette fois n'avait rien a voir avec la légère ivresse. Elle dénia son compliment d'un vif mouvement de la tête.

Je ne suis pas une serveuse ... et je suis pas vraiment joli non plus.

Dans sa tête, ce n'était qu'une phrase prononçait pour refus sans vraiment de fond, les compliments ne l'avaient charmée compare a d'autre. L'alcool aidant elle reprit rapidement son comportement précédant, enfin plus proche de la normale que la version tomate c'est sur.

Vous êtes sur ... ? Bon dans ce cas ... je vais prendre la même chose que toi.

Elle ne voyait pas comment elle pouvait denier sa requête, surtout en connaissant le fait qu'il n'avait pas forcement beaucoup d'argent. Cela la gênait profondément mais ... Elle finit par se lever et tirer deux bières et de les apporter, tanguant légèrement mais gardant le pieds ferme.

Je me suis retrouve d'un seul coup prof en fait. J7aimais bien les enfants et ils me le rendait bien ... et puis était plutôt intelligente, ça devait aider ...

Mary laissa trainer son regard sur le Salon de The dont les boissons n'était pas vraiment a base d'herbe et d'eau chaude.

Elle revint avec deux belles bières. Comme les premier une grande pour moi et une petite pour elle. On voyait bien que l’alcool avait fait son effet, elle se déhanchait bien plus, au point où on pourrait croire qu’elle allait tomber sous le poids du plateau. Ce fut un drôle et beau spectacle car, oui, je ne me gênai pas pour regarder son déhanché.

Elle s’assit à la table et me dit qu’elle était devenue prof par défaut.

- Tu sais d’où viens ton « amour » des enfants ? Tu aimerais en avoir ?

Je trempai mes lèvres dans la bière et bue deux grande lamper. Elle était toujours aussi bonne.

- au faite je te dois combien ? Deux grandes bières, deux petites et un thé. Si je ne dis pas de bêtise, l’alcool fais quand même de l’effet, même au habituer.

Je lui servis le grand sourire des bons jours.

- Je fini ma bière et je vais y allez. J’ai quelque affaire à régler.

Les deux bieres posaient sur la tablesemblait avoir des reflets étranges, comme si elles s appretaient a se dédoubler puis rester ou elles étaient... étrange. La jeune femme semblait un peu perdu, comme si les choses allaient un peu trop vite pour elle. C était toujours cet effet de décalage qu elle ressentait ivre, ca et son absence de timidité habituelle.

Des enfants ? Enfin il faudrait déja ...

Certes elle reste quand meme a son etat normale, c est a dire elle rougit, il faut encore attendre une ou deux bouteilles de plus... Elle tient pas l alcool mais qund meme. Valdis devait la trouver bien stupide tout de meme, a rougit comme ca. IL était tres agréable d ailleurs, plus que la plupart des gens qui venait ici. Tres poli ...

Euuuh ... A vrai dire je sais plus ...

Les chiffres s embroullaient dans sa tete et tout se melangeait un peu... Puis elle se sentit tres fatiguée ...

Avant de se lever une main sur la chaise le teint tres pale.

Elle me dit qu’elle ne sait plus combien je lui dois. Étrange pour une serveuse, elle n’a pas assez bu pour ne plus être assez lucide pour compter. Et la voilà qui passe du rouge tomate au blanc cadavre. Oh oh ! Non pitié ! Une des rares âmes pure de Shalmosis ! On ne doit pas la tuer ! La voilà qui se lève. Elle est vraiment pas bien. Poison ? Une tentative raté de m’éliminer ? Comment ? Personne ne m’a suivie ! Les effets de l’alcool sur mes sens disparaissent dans la micro second. Je me lève et la fais s’assoir

- Reste-la. Ne bouge pas et respire. Tien bois ça.

En parlant j’avais pris mon verre de bière, étant sur à 80% qu’il ne contenait rien, et y avais mis une toxine qui élimine les poisons à actions rapide. C’est une petite poudre bleu qui à un sale gout. Mais super utile quand on cherche à vous tuer. Bien sûr j’ai sa petite sœur. Un petit poison ultra efficace. M’enfin là j’ai une femme pur qui risque peut être de me claquer dans les bras. Même si j’espère que ce n’est rien.

Les gens commençais à parler un peux plus fort. Normal. J’avais intimidé deux mec et je parlais depuis mon arrivé avec la serveuse. Et voilà qu’elle avait le teint pale. En gros tout allait mal pour l’estime qu’ils avaient pour moi. Et je ne voulais tuer personne. La peur était trop présente, et l’alimenter pourrais créer des gros problèmes.

Je me retournai vers elle pour voir son état, toujours sur mes gardes vis-à-vis des autres clients.

Elle se sentait mieux. Parfait. Je ne pensais pas que se soit du poison, elle n’aurait pas repris des couleurs si vite. Ce devait être le cocktail fatigue alcool.

Voilà sa sœur. Toute guillerette, Mary alla au-devant d’elle, alors que sa sœur me lança un regard suspicieux. Normal, votre sœur est bien alcoolisée et quitte la table d’un homme qui semble parfaitement sobre.  Je les laissai tranquillement se parler. Puis quand je jugea le moment opportun je me levai et m’approcha des deux jeunes femmes.

- Mes demoiselles ! Mary, merci pour tout. Et Lou, si je peux me permettre de vous appeler ainsi, vous avez un très bel établissement et une bière excellente. Et voilà pour la note, je leur tendis un billet de 100. Et Mary, tu devrais allez te coucher.

J’inclinai légèrement la tête et me dirigeas vers la porte.